Né en 1936, auteur prolifique d'une œuvre protéiforme où la forme romanesque domine, Don DeLillo crée des images « nobles, violentes, déprimantes, belles » (tous adjectifs qu'il applique à la religion) pour rendre compte d'un monde convulsé où la quête existentielle n'est jamais loin de l'égarement. Visite sous la conduite de Marianne Véron, traductrice de plusieurs de ses chefs-d’œuvre.