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L'Odéon

Un théâtre national

Mission
Établissement national, l’Odéon joue pleinement son rôle dans le réseau théâtral français, en coproduisant et en accueillant des spectacles portés par des compagnies ou des centres dramatiques régionaux.
Défini comme « Maison commune du théâtre européen », l’Odéon a pour mission de favoriser et de valoriser la création dramatique européenne, en contribuant à la faire rayonner en France et dans le monde. Le théâtre soutient les coproductions internationales en invitant des artistes étrangers à créer sur ses deux scènes, et en proposant ses productions sur les plus grandes scènes européennes.
L’Odéon s’engage en tant qu’acteur social et sociétal. L’accessibilité du plus grand nombre à sa programmation est l’autre moteur de son activité. Le théâtre mène une politique volontariste en matière d’offres tarifaires et développe une centaine d’actions de médiation et d’éducation artistique et culturelle par saison avec les acteurs de l’enseignement, du champ social et du handicap. Soucieux de son empreinte environnementale, l'Odéon est engagé dans une démarche de réduction de l'impact de ses activités sur l’environnement.


Statut
L'Odéon est l'un des six théâtres nationaux. Le décret du 1er juin 1990 donne à l’Odéon son titre de Théâtre de l’Europe, et fixe son statut. Établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC), il est placé directement sous la tutelle du ministère de la Culture. Il est régi par un conseil d’administration, son directeur est nommé par décret par le président de la République sur proposition du ministère de la Culture, son mandat est de 5 ans renouvelable par période de trois ans.
L'Établissement est subventionné par l’État à hauteur d’environ 70%, et se finance à hauteur de 30% (billetterie, mécénat, tournées).


2022 en chiffres
275 représentations
Près de 150 000 spectateurs
94% de taux d’occupation des salles
130 salariés (équivalent temps plein)
47% de femmes dans les effectifs

Julien Gosselin

Julien Gosselin s’est formé à l’École supérieure d’art dramatique de Lille, dirigée par Stuart Seide. Avec six camarades, il forme Si vous pouviez lécher mon cœur en 2009, et met en scène Gênes 01 de Fausto Paravidino (Théâtre du Nord, 2010), Tristesse animal noir d’Anja Hilling (Théâtre de Vanves, 2010) puis Les Particules élémentaires d’après Michel Houellebecq (Festival d’Avignon, 2013). Viennent ensuite Je ne vous ai jamais aimés de Pascal Bouaziz (Théâtre national de Bruxelles, 2014), Le Père de Stéphanie Chaillou (Théâtre national de Toulouse, 2015) et 2666, adapté du roman-fleuve de Roberto Bolaño (Festival d’Avignon, 2016). Après 1993, d’Aurélien Bellanger (Festival de Marseille, avec la promotion 43 du Théâtre national de Strasbourg), il revient à Avignon pour Joueurs, Mao II, Les Noms, d’après Don DeLillo, qui lui inspire aussi Vallende Man (L’Homme qui tombe), créé à l’International Theater Amsterdam (Pays-Bas), puis Le Marteau et la Faucille (Printemps des Comédiens – Montpellier). En 2018, il est lauréat du XVeme prix Europe pour le théâtre, à Saint-Pétersbourg. En 2021, Julien Gosselin monte avec le groupe 45 du Théâtre national de Strasbourg une adaptation du Dékalog de Krzysztof Kieslowski, et met en scène Le Passé, à partir de textes de l’auteur russe Léonid Andréïev. En 2023 il crée Extinction, d’après Thomas Bernhard et Arthur Schnitzler, qui associe acteurs de Si vous pouviez lécher mon cœur et de la Volksbuehne et qui est créé au Printemps des Comédiens de Montpellier, avant le Festival d’Avignon, Berlin, Anvers, Paris (Théâtre de la Ville).

 


À l’Odéon, Julien Gosselin et Si vous pouviez lécher mon cœur ont présenté :
Les Particules élémentaires, de Michel Houellebecq, aux Ateliers Berthier (2014), repris au Théâtre de l’Odéon 6e (2017) ;
– 2666, de Roberto Bolaño, aux Ateliers Berthier (2016) ;
– Joueurs, Mao II, Les Noms, d’après Don DeLillo, aux Ateliers Berthier (2018) ;
Le Passé, d'après Leonid Andréïev, à l'Odéon 6e (2021).



Il est le nouveau directeur du Théâtre de l'Europe depuis le 15 juillet 2024.

Lire le communiqué du ministère de la culture

 

L'histoire

De 1782 à aujourd’hui, découvrez l’histoire du Théâtre national de l’Odéon. Un parcours illustré d'images ou de vidéos peu connues pour comprendre le destin du Théâtre-Français voulu par Louis XV, devenu Second-Théâtre Français, Théâtre de France, Théâtre de l'Europe...

Pour toute question concernant l'histoire de notre théâtre et de ses spectacles vous pouvez consulter la médiathèque du théâtre.

Si la frise historique ne s'affiche pas sur votre navigateur, ou si vous avez du mal à la lire, vous pouvez en télécharger le texte ici.

 

Les lieux

L’Odéon-Théâtre de l’Europe a été édifié en 1782 par les architectes Peyre et de Wailly et reconstruit à deux reprises après les incendies de 1799 et 1818. Il s’agissait alors du premier édifice parisien monumental entièrement voué à l’art théâtral. La salle à l’italienne, la plus grande de Paris à l'époque, pouvait loger 1913 places ; elle en compte 800 aujourd'hui. L'Odéon est classé en totalité monument historique depuis le 7 octobre 1947.
En mai 2005, les Ateliers Berthier sont devenus officiellement la deuxième salle de l'Odéon-Théâtre de l'Europe.


 

L'Odéon 6e

Le Théâtre de l'Odéon, qui a ouvert ses portes en 1782, est le plus ancien théâtre-monument de Paris. Le bâtiment se distingue par l'austérité de ses formes cubiques, par sa massivité et par son ordre dorique, auquel les deux architectes avaient donné une justification : c'est l'ordre d'Apollon, le chef des muses. Le caractère monumental de l'édifice est une réminiscence de la grandeur des monuments de l'Antiquité grecque... 

Il a été construit, sur les anciens terrains de l'hôtel de Condé, par les architectes Charles de Wailly (1730-1798) et Marie-Joseph Peyre (1730-1785), représentants du style néoclassique, qu'ils vont contribuer à populariser.





Des arches, de chaque côté de la façade, conduisaient alors aux bâtiments qui flanquent le théâtre, de l'autre côté de la rue, ancrant le bâtiment dans son environnement. Elles ont été démolies en 1833, l'État ayant décidé de se défaire des immeubles attenants. 


Une arcade fait le tour de l'édifice. Jusqu'à la dernière guerre, des bouquinistes tiendront boutique en-dessous.

Le vestibule

À l'intérieur, un vestibule carré, planté de colonnes d'ordre "dorique toscan", s'ouvre à deux escaliers symétriques et monumentaux. Les deux incendies de 1799 et 1818 ont épargné la partie avant du bâtiment, séparée de la salle par un mur épais en maçonnerie : vestibule, escaliers, foyer du public.


À l'origine le plafond du vestibule était percé en son centre d'une ouverture qui en permettait l'éclairage zénital. Mais cette ouverture fut bouchée dès 1783, un an après l'inauguration, lors de la création du foyer du public qui surplombe le vestibule.

Le foyer du public

L'état actuel du foyer du public est à peu de chose près celui d'origine...

 

En 1783, un an après l'ouverture du théâtre, ce foyer est créé au dessus du vestibule (le foyer du public se trouvait à l'inauguration placé latéralement, à l'est de la salle).
Une cheminée "à l'égyptienne", flanquée de deux sphinges, est installée. Le sculpteur Caffieri réalise quelques sculptures décoratives pour le dessus des portes : des petits génies tenant des emblèmes mythologiques. Le buste de Molière sculpté par Houdon ornait alors le dessus de la cheminée (il se trouve actuellement au musée des chateaux de Versailles et de Trianon). À sa place se trouve aujourd'hui un buste en bronze représentant André Antoine, par Aslan (1949).

 

La plupart des sculptures qui ornaient le foyer en 1783 furent déménagées dans la salle Richelieu en 1799, après le premier incendie. Tel fut également le sort de la fameuse statue en marbre blanc représentant Voltaire assis, également par Houdon, qui accueillait les spectateurs dans le vestibule (il avait été offert par Mme Denis à la Comédie Française).




Les cariatides qui se dressent en ronde au-dessus du centre du foyer datent, elles, de la restauration qui a suivi le 2e incendie, en 1818.
Les grandes sculptures (Racine et Corneille, La Comédie et la Tragédie), tout comme les tableaux qui ornent actuellement le foyer, datent de la direction de Félix Duquesnel, autour de 1875.

La salle

La salle, de plan circulaire à l'origine, en ellipse depuis la restauration de Chalgrin en 1808, est la première salle parisienne à prévoir des bancs pour asseoir les spectateurs du parterre. Elle peut contenir 800 spectateurs, depuis sa restauration et sa réouverture en 2006.

Blanche à l'origine, la salle fut bleue, feuille morte, et rouge "Comédie-Française" après la deuxième guerre mondiale, du temps de la "salle Luxembourg", couleur encore en place aujourd'hui.



La restauration du théâtre (2003-2006) a permis de modifier le rapport scène-salle. Pour les besoins de la scénographie contemporaine, et pour simplifier l'accueil des spectacles venus d'autres théâtres, il a été décidé de mettre la scène à l'horizontale (et au niveau de la rue, pour faciliter l'entrée des décors). En contrepartie, la pente du parterre a été nettement amplifiée.  


Détails de la salle

Le plafond d'André Masson

Le plafond actuel (1965), d'André Masson, est élaboré autour du thème central d'Apollon-soleil, et de différentes figures de la tragédie et de la comédie. Il remplace celui peint par Jean-Paul Laurens en 1888.


photo Thierry Depagne / une œuvre d'André Masson, 1965 © ADAGP, Paris 2014

André Masson a repris autour du thème central d'Apollon-Soleil (le héros arrachant le coeur solaire de l'aigle), les figures de la Comédie et de la Tragédie : Eschyle (Agamemnon), Aristophane (Lysistrata), Shakespeare (Les Joyeuses commères de Windsor et Falstaff), Kleist (Penthésilée), Claudel (Tête d'or) ; et enfin trois colosses exprimant les trois attitudes fondamentales de la vie : la jubilation, la douleur et la méditation.

Le Salon Roger Blin

Le Salon Roger Blin, à l'origine un petit foyer, ouvert sur le grand foyer du théâtre, créé à la fin du XIXe siècle, transformé en 1967 par Jean-Louis Barrault en tout petit laboratoire de théâtre, est aujourd'hui un espace de lectures et de rencontres. Il abrite aussi la librairie du théâtre.


Le Salon Roger Blin, sa scène – photo © Thierry Depagne, 18 juin 2008


En 1967 Jean-Louis Barrault avait fait transformer cet espace presque muséal (il abritait une collection de tableaux et de bustes) en un « laboratoire pour textes inédits, un théâtre intime pour création d'oeuvres nouvelles ».


Cette toute petite salle, baptisée Petit-Odéon, puis en 1984 Salle Roger Blin, saura trouver un public curieux, à l'affût des nouveautés.
Durant les années 70, Jean-Pierre Miquel en supervisera la programmation.
Y seront créés Nathalie Sarraute, Carol Berstein, Sam Shepard, François Billetdoux, Bernard-Marie Koltès, Jean-Luc Lagarce, Heiner Müller, Dea Loher, et bien d'autres.


Depuis 1967 l'espace a été repeint en noir, la structure des gradins modifiée à plusieurs reprises au gré des mises aux normes de sécurité.

 

Pourtant lors de la dernière campagne de travaux (2002 - 2006), l'architecte a décidé la remise en l'état du foyer public originel : en effet cette salle ne pouvait plus accueillir de spectacles, les travaux lui faisant perdre ses coulisses.

 

En septembre 2009, cet espace a été à nouveau baptisé Salon Roger Blin, reprenant le nom qui avait été attribué à cette salle en 1984 puis abandonné, et marquant ainsi la présence dans les murs de l'Odéon d'un immense artisan du théâtre aux côtés de Serreau, Gémier et Barrault.

 


Les Ateliers Berthier 17e


Entrepôt de décors de spectacle construit en 1895 par Charles Garnier pour l'Opéra de Paris (dont il est l'architecte) et prolongé dans les années 50, la salle des Ateliers Berthier, située boulevard Berthier, Paris 17e, a été transformée en édifice public en janvier 2003, pour servir de salle provisoire à l'Odéon durant les travaux de sa salle historique, entre 2002 et 2006.



En 2015, le Théâtre de l’Odéon a profité de la trêve estivale pour engager des travaux sur le site des ateliers Berthier afin de moderniser les équipements techniques et de faciliter l’accueil du public dans les espaces de réception.


La salle de spectacle

En mai 2005, les Ateliers Berthier sont devenus officiellement la deuxième salle de l'Odéon-Théâtre de l'Europe, avec une capacité de 480 spectateurs.



La salle de spectacle a été équipée d’un gril, en vue d’améliorer les conditions de montage et de sécurité. Afin de gagner en hauteur scénique, le gril s’étend désormais à 12,80 mètres de hauteur sur quasiment toute la surface de la salle, 13 mètres de large sur 31 mètres de long. Sous ce gril, des porteuses déplaçables, ou barres mobiles sur lesquelles les décors et les lumières sont accrochés, ont été suspendues et reliées à un système de pilotage central, facilitant les installations scéniques.

Les autres espaces


Les ateliers de construction
Encourager la création c’est aussi donner les moyens de leurs ambitions aux metteurs en scène qu’accompagne l’Odéon-Théâtre de l’Europe. Grâce aux ateliers de décors et à ses artisans, les artistes peuvent concevoir des scénographies ambitieuses et novatrices.



Les espaces d'accueil du public

Les travaux engagés aux ateliers Berthier ont également permis de remanier les espaces d’accueil du public. Les circulations ont été revues. Un voile de béton a été abattu au fond de l’espace librairie, de façon à ouvrir un nouvel accès au café de l’Odéon. L’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite a été améliorée. Ces changements permettent de fluidifier les accès aux différents lieux de vie, de la librairie au café, dont le bar et les comptoirs ont été remis aux normes, jusqu’à la grande salle.


Le théâtre de l'Europe

“L’identité culturelle des Européens est une identité multiple, complexe, contradictoire et qui pourtant est reconnaissable comme le fil rouge qui tramerait notre histoire.”
Giorgio Strehler

 

Les collaborations et les tournées internationales de l’Odéon

Outre l’accueil de nombreuses productions étrangères sur ses deux scènes, l’Odéon est partenaire et coproducteur de spectacles produits au niveau européen. Les mises en scènes des artistes associés à l’Odéon sont également présentées dans de nombreuses villes européennes et au-delà de l’Europe.

 

Mitos 21

L’Odéon fait partie de cette association européenne, regroupant certaines des institutions théâtrales européennes les plus importantes. Son objectif principal est de favoriser la rencontre et l’échange entre professionnels du théâtre en Europe, et de travailler ensemble sur des thématiques communes en mettant en perspective les savoir-faire.
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Prospero

L’Odéon fait partie du réseau de théâtres européens Prospero, avec lequel il développe des projets de collaborations, coproductions, tournées, et ressources numériques à l’échelle internationale.
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Surtitrages

L’Odéon affirme sa mission européenne: certains spectacles sont désormais surtitrés en anglais et en français un vendredi du mois. Retrouvez les informations précises sur les pages dédiées aux spectacles.
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L'équipe

Direction :

Directeur : Julien Gosselin
Administrateur : Antoine Mory
Directrice de la programmation : Eugénie Tesson
Attachée de direction auprès du directeur et de l'administrateur : Catherine Ferrari


Directeur technique : Christophe Gualde
Directeur de la production et des budgets : Fabrice Yvrai
Directeur de la communication et des publics : Olivier Schnoering
Directrice du mécénat et du développement : Valentine Boullet
Directeur du bâtiment et de la sécurité : David Schaal
Directrice des ressources humaines : Dominique Robin
Agent comptable : Boris Renaison



Juridique et commande publique :

Responsable juridique et de la commande publique : Leïla Peter


 

Production :

Directeur de la production et des budgets : Fabrice Yvrai
Directrice adjointe de la production : Agnès Ravaud
Administrateur de production : n.n
Chargée de production : Roxane Pastor Lloret 

 

Mécénat et Développement :

Directrice du mécénat et du développement : Valentine Boullet
Chargée de mécénat et du développement : Chloé Ginisty
Assistante mécénat : Leena Rohn

 

Direction de la communication et des publics:

Directeur de la communication et des publics : Olivier Schnœring
Directrice adjointe de la communication et des publics : Juliette Col

> Cellule numérique
Responsable des projets et contenus numériques : Caroline Palmier
Chargée des contenus numériques et webmestre : Doriane Balin
Chargée de communication numérique et de médiation culturelle : Chloé Ligneau
Assistant communication numérique : Neil Angue

> Communication
Responsable de publications et de gestion : Sarah Caussé
Responsable des ressources documentaires, déléguée à la protection des données : Juliette Caron
Chargée du protocole et des invitations : Lydia Magnieu-Ivanova
Intendant : Noé Outier

> Médias :
 Responsable du pôle médias
: Lydie Debièvre
Chargée de relations médias : Valentine Bacher

> Ventes et marketing :
Responsable pôle ventes et marketing 
: Nathalie Babault
Responsable billetterie : Amandine Merlet
Cheffe de projet solution billetterie - CRM : Claire Picot
Chargés de billetterie : Jean-Michel Fairfort, Glenn Kerbiquet, Léa Khedhiri, Martin Modesti, Azin Mohammadali Chalamet

> Médiations et développement des publics :
Responsable groupes et collectivités : Caroline Polac
Cheffe de projet secteur champ social et handicap : Alice Hervé
Cheffe de projet secteur enseignement : Coralba Marrocco
Cheffe de projet secteur enseignement supérieur et formation : Mathilde Desvaux
Assistant administratif : Gaël Schlatter
Volontaires service civique : Roxane Papias, Lisa Braemer

> Accueil : 
Chefs du service d'accueil : Sabrina Hamiche, Loris Marti
Responsable de salle : Philippe Chevalier
Contrôleur : Ahmed Amghane
Hôtes d'accueil : Julien Cosqueric, Laurence Nadal, Christel Papoin, Guillaume Duhamel

 

Technique :

Directeur technique : Christophe Gualde
Directrice technique adjointe : Cécile Venier Alla
Adjointe administrative au directeur technique : Nathalie Féret
Régisseuse scénographe : Isabelle Neveux
Chauffeur : Yliès Nefoussi

> Régie générale :
Régisseurs généraux : Thierry Lacroix, Olivier Place, Frédéric Rui
Régisseurs généraux adjoints : Pascal Brami, Thomas Braud

> Son/vidéo :
Chef de service son/vidéo : François Gestin
Régisseurs son : Dominique Ehret, Théo Jonval, Thierry Jousse
Régisseuse vidéo : Maïa Fastinger
Apprentie au service vidéo : Laura Bécamel

> Lumière :
Chef service lumière : Jaufré Thumerel
Chef de service lumière adjoint : Mogan Daniel
Régisseurs lumière : Gilles Chaudemanche, Julien Cocquet, Charlotte Feuillette, Oumar Fofana, Patrice Pépin
Responsables des ateliers lumière : Nicolas Domicile, Patrick Grandjean
Techniciens lumière : Loïc Favret, Juliette Lambert
Apprentie au service lumière : Lison Royet

> Habillement :
Cheffe du service habillement : Christine Rockstedt
Adjointe à la cheffe du service habillement : Jennifer Ribière
Chefs d'équipe habillement : Nicolas Dupuy, Alice Gai, Magalie Pichard, Florence Tedeschi, Candice Wehner

> Plateau :
Cheffe du service plateau : Clémentine Bollée-Legeas
Chef du service plateau adjoint : Pierre Cabrillac
Régisseuse accessoires : Sophie Camus
Régisseur plateau : Cédric Bretteville
Chefs machinistes : Claude Cuisin, Jaime De Miranda, Dominique Louise
Chefs machinistes adjoints : Pascal Alforchin, David Broutté, Jacques Venturini
Machinistes spécialisés : Nathalie Auvray, Luc Blondeel, Fabrice Charles, Stéphane Ferrand, David Leuillet, Nathanaëlle Orfila-Saiz, Vincent Val, François Zani
Apprenties au service plateau : Coline Mengin, Hugo Zeltner

> Construction : 
Chef d'atelier 
: Faridge Akhounak
Chef constructeur menuiserie : Rudy Longhino
Chef constructeur serrurerie : Fabien Bertho
Chef décorateur : David Richard
Régisseur tapissier : Sylvain Letourneur
Machinistes constructeurs : Jésus Valseca Martin, Julien Renaud

 

Bâtiment et Sécurité : 

Directeur du bâtiment et de la sécurité : David Schaal
Attachée de direction : Laure Legoff
Responsable RSO, gestion administrative et budgétaire - adjointe au directeur du bâtiment et de la sécurité : Anne-Shifra Lévy-Grinbaum
Adjoint au directeur du bâtiment et de la sécurité, chargé de la sécurité et de la maintenance du bâtiment : Djamel Abes
Adjoint au directeur du bâtiment et de la sécurité, chargé de la sécurité et de la maintenance des Ateliers Berthier : Malik Djebli
Chargé des moyens généraux et de la logistique : Lanval Monrouzeau
Responsable sécurité et incendie : Gustavo Rebiere
Agents de sécurité : Saïd Aouan, Gilbert Francillonne, Abdramane Traoré, Mokram Zamouri
Responsable de maintenance et de travaux électrique : Thierry Hameau
Ouvriers tous corps d'état : Jean-Yann Aure, Larbi Taleb

 

Systèmes d'information :

Responsable des systèmes d'information : Hadrien Jeanne

 

Ressources Humaines :

Directrice des ressources humaines : Dominique Robin
Responsable santé sécurité au travail et prévention des risques professionnels : Renaud Vedel
Responsables ressources humaines : Hélène Debure, Constance Villandre, Fanny Jamet
Assistante ressources humaines : Abecha Assi
Assistante administrative au comité social et économique : Claire Clément

 

Agence comptable :

Agent comptable : Boris Renaison
Cheffe comptable − adjointe à l'agent comptable 
Adjoint au chef comptable : Marie-Claude Roussi
Responsable de la paie : Jean-Pierre Courty
Cheffe de section comptable : Anne-Laure Heurtevent
Comptables : Agnès Fort, Stéphane Tourtelier

 

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